Femmes joie Pluie

Nombres 11/1 Comme le peuple se plaignait, cela fut mauvais aux oreilles de l’Éternel ; et l’Éternel l’entendit. (Darby)

Sauvé de l’esclavage de l’Egypte, libéré de la puissance de Pharaon, le peuple d’Israël avait chanté sur les rives de la mer rouge le cantique de la délivrance avec Marie et les femmes.                                                                                  

Puis ce fut le désert,

– la faim apaisée par la manne du ciel,

– la soif étanchée par l’eau du rocher des siècles,

– le combat victorieux contre Amalek par l’intervention d’en haut.                                                                                    

Après quelques temps le peuple avait repris la route. Au bout de trois jours de marche, le peuple se plaint.
Il ne nous est pas dit de quoi, ni pourquoi et encore moins comment, mais le fait est là, le peuple se plaint.                             

N’est-il pas vrai que souvent nous nous plaignons sans trop savoir quelle en est la cause.
On se laisse aller à un mécontentement qui trouve à redire :

– du temps qu’il fait,

– de la nourriture qu’on reçoit,

– de telle ou telle circonstance, on n’est jamais content, jamais satisfait !

Réalisons qu’à chaque fois que nous nous plaignons, l’Eternel entend.                                           

Le livre du Deutéronome au chapitre 9 nous rappelle que le désert est là « afin de nous humilier et de nous éprouver afin de mettre notre cœur à nu.»
Avec la force que Dieu nous donne, nous traversons et nous traverserons les épreuves douloureuses en vainqueurs.

Mais les choses qui nous font si souvent nous plaindre sont
 :

– les petits contretemps journaliers, familiers,

– les déceptions, les désagréments,

– les dérangements,

– le confinement.                                                                     

Un cœur heureux et fondé dans le Seigneur saura accepter de sa main ces petits contretemps sans irritations, sans aigreurs et sans plaintes.
                        
Il nous faut apprendre du Seigneur comme l’apôtre Paul, Philip. 4/11-13 J’ai appris à être content de l’état où je me trouve. Je sais vivre dans l’humiliation, et je sais vivre dans l’abondance. En tout et partout j’ai appris à être rassasié et à avoir faim, à être dans l’abondance et à être dans la disette. Je puis tout par celui qui me fortifie.                                                                                            

 La vie de tous les jours avec ses réalités est là comme pour mettre à l’épreuve notre patience et notre discipline personnelle dans notre marche avec Christ.

Veuille le Seigneur, nous donner la force de surmonter ces petits désagréments de la vie quotidienne. 

Je vous donne rendez-vous Vendredi, pour notre prochain rendez-vous par Vidéo.


Jean-Michel Cadet

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